“ QUINN AND FINN : What do you say to taking chances ? ”

Un jour de plus s'était levé sur le lycée McKinley, et il était évidemment que les vieilles habitudes ne se perdaient malheureusement pas. Et là je parlais pour tous ceux qui nous détestaient et qui nous traitaient si facilement de losers. Non sérieusement, nous étions au lycée et ils avaient encore un comportement de gamins à nous slushé parce que pour eux, nous sommes des mauviettes ou plus précisément des tapettes. Bref, tous les adjectifs possibles qui permettait de nous déstabilisés étaient lancés à notre encontre. On pouvait comprendre qu'à la fin, ils nous prenaient l'envie de les tabassés et parfois ça arriver quand ils en faisaient vraiment trop, oui ça m'est déjà arriver avec les gars de l'équipe de foot. J'en avais tellement marre qu'ils me manquent de respect et ainsi qu'à nous tous. Nous y avions le droit tous les jours sans une once de répits. Il était hors de question d'en informer les parents, de toutes manières à quoi cela servait ? A créer plus de problèmes qu'autre chose, non notre problème était bien les élèves et non les parents même si leurs parents leur mettaient une correction, rien ne changerait et le problème persisterait. Alors, nous nous en occupions nous et à notre manière. Bon il fallait avouer que ce n'était pas très efficace mais on ne pouvait pas faire plus, il n'y avait que le Directeur qui pouvait faire quelques choses pour nous. Ce qui était sympa hormis le faite qu'on se fasse shlushé par certains élèves était notre club de chorale, au moins nous étions soudés. C'était d'ailleurs très sympa d'organisé un spectacle pour halloween, Mr Schue avait eu une très bonne idée et nous devions travailler la dessus cette semaine, j'avais déjà hâte d'attaquer les auditions ainsi que les répètes. Un rapide coup d'oeil à ma montre qui m'indiqua qu'il était déjà midi et que mon estomac gargouillai depuis le cours d'Espagnole de ce matin, et à vrai dire je n'avais rien mangé en partant de la maison, j'avais tellement le ventre noué à l'idée de reprendre les cours puis de revoir aussi bien Rachel, que Quinn ainsi que les autres élèves de la chorale. Bon il était évidemment que pendant les vacances j'avais revu Puck, nous étions quand même les meilleurs amis depuis l'enfance malgré tout ce qu'ils s'étaient passés. Par ailleurs et ça, je n'en avais parler à personne mais j'avais eût du mal à avancer à cause de toutes ses histoires mais bon je pense qu'il fallait bien faire des erreurs non pour pouvoir faire un pas de plus ? Et puis aujourd'hui je ne voulais plus me prendre la tête, je savais où j'en étais et ce que je voulais. Mon plan était déjà préparé dans ma tête, qu'il réussisse ou non tant pis mais l'important n'est pas au moins d'avoir tenté sa chance ? Je me dirigé vers la cafétéria comme à mon habitude et tout en attendant les autres, je me pris une table après avoir pris mon plateau repas qui à vu d’œil ne ressemblait à rien. Mon téléphone à la main, je parcourus ma liste de contact pour tomber directement sur Quinn. Je lui envoyé un message.

A : Quinn Fabray
Salut tu vas bien ? Je suis à la cafétéria si ça te dis qu'on mange ensemble préviens-moi ou rejoint-moi directement. Finn Après vérification du message, j'appuyai sur..Message envoyé

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Après avoir ranger mon téléphone dans ma poche, je me mis à tournoyé ce que j'avais dans mon assiette. Je faisais des petits ronds tellement je m'ennuyais à attendre, oui parce que par politesse je n'allais pas mangé tout seul si Quinn venait me rejoindre. Peut-être que d'ici là il y aurait eu Santana qui serait venue ou bien Puck ou alors Mercedes bref, je m'attendais à voir passé l'un deux ou n'importe quel autre membre des New Directions d'ailleurs sauf Jesse tout en attendant la jolie blonde. Je poussais un soupire las, comment pouvait-on manger ces monstruosités ? Ils ne faisaient jamais les tests d'hygiène ici car j'étais sûr qu'ils nous empoisonnés avec ces choses-là. Cinq minutes plus tard mon portable vibra, ouf peut-être un message de Quinn. C'est lorsque je pris mon portable pour vérifier que je vis que j'avais raison, elle venait de me dire qu'elle arrivait. Au moins, je ne mangerais pas ces choses-là tout seul. Je passais ma main rapidement dans mes cheveux, histoires qu'ils ne soient pas si désordonnés que tout à l'heure mais bon je n'étais pas celui qui s'occuper vraiment de son physique ni même de sa coiffure. J'aurais même parié dessus que si j'aurais demandé un conseil à Kurt, il m'aurait expliqué pendant plusieurs minutes comment bien me coiffé chose que je n'avais nullement besoin. Rien que cette pensée me fit levé les yeux en l'air mise à part m'habiller, je n'avais pas besoin de d'autres conseil vu que je ne m'en préoccupais pas. Bref, après quelques regards par-ci par-là, je vis la demoiselle en question arrivait face à moi les cheveux lâchés et habillés d'une simple robe, même dans la simplicité elle était mignonne. C'était ce qui m'avait plus chez elle, pas que pour son physique ni pour sa popularité à l'époque mais parce que je la trouvais aussi intelligente, un peu plus que la normal enfin que les autres lycéens.
"Salut beau brun!" me lança-t-elle alors qu'elle avait pris elle aussi un plateau repas tout en s’asseyant en face de moi après que je lui ai reculé la chaise comme un vrai gentleman.
"Hey salut ma belle !" lui lançai-je à mon tour me remettant bien à ma place après lui avoir fait la bise. "Comment vas tu ?" lui demandai-je plus par politesse mais c'est vrai que je la trouvais un peu pâle aujourd'hui.

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Je devais avoué qu'il était rare que tous les deux nous nous retrouvions tout seul à table. Surtout depuis tout ce qui s'était passé entre nous, le faite qu'on est été ensemble mais qu'elle m'est menti lorsqu'elle avait appris qu'elle était ensemble de mon meilleur pote. Je ne vous raconte pas comment j'avais eu la rage quand j'avais su réellement que je n'étais pas le père de l'enfant qu'elle portait. J'avais été trop naïf de la croire car en y réfléchissant on ne l'avait pas vraiment pas tous les deux à ce moment-là et c'était ridicule de penser qu'un enfant pouvait aussi être procréer de cette façon. Mais elle en avait beaucoup trop abuser à mon goût surtout parce qu'elle n'avait pas voulu me perdre mais bon, c'était ce qui arrivait quand on mentait. Quoique nous fassions, quoique nous disions si un seul mensonge sortait d'une bouche feignant la sincérité, il était certain qu'un jour où l'autre, ça tournerait au vinaigre. Mais bon, elle avait l'air d'avoir retenu la leçon et puis je savais qu'au fond d'elle ce n'était pas une si mauvaise personne. Elle n'était plus populaire, et alors ? La popularité n'est rien d'autre que passagère, comment fera-t-elle quand elle partira du lycée qui lui aussi est éphémère car elle n'allait quand même pas y rester toute sa vie, nous avions encore une seule année devant nous ou deux si cela se passait mal mais j’espérais le contraire. Car en effet, je ne escomptais pas passait une année de plus ici, j'avais envie de suivre mon petit bout de chemin et me construire une carrière autre que de chanter dans un club. Malgré que j'aimais ce club, je devais avoué que j'aimais beaucoup plus le foot-ball c'était une autre de mes passions et peut-être si cela pouvait devenir un métier. Pour cela, je devais obtenir une bourse d'étude qui me permettra d'ici l'année prochaine d'intégrer une université de mon choix mais plus particulièrement celle où je savais qu'il y aurait cette activité. Il y en avait pas vraiment une ici et pour cela, je devais partir et devenir quelqu'un de nouveau. J'étais près pour une nouvelle aventure, moralement et physiquement je savais que j'avais toute mes chances si je faisais le maximum cette année. Quand je regardais Quinn me dire qu'elle allait bien, je n'étais pas dupe et pourtant je ne lui faisais aucune remarque car si elle avait voulu en parler, elle me le dirait. Elle me posa à son tour la même question mais j'avais besoin de parler, nous avions besoin de parler qui plus est. Et il y en avais tant.
"Disons que cette histoire de rébellion ne me dit rien qui vaille, je reste toujours sceptique quant aux motivations qui ont poussait Jesse a revenir dans nos vies et dans celle de Rachel, je suis sûr qu'il cache un truc à nouveau" lui dis-je en commençant à manger dans son assiette, "je n'arrive même pas à comprendre comment il a pu tous vous faire gober que nous pouvions réussir à créer un mouvement alors que nous sommes si peu"

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Je regardais mon assiette en faisant des petits cercles dedans, ça ne me donner pas très envie de manger et pourtant je devais m'y obligé car aujourd'hui nous avions une grande journée. Comme à mon habitude, nous avions les cours + le Glee Club et en fin de journée avec les mecs nous avions le football, de quoi nous déstressé un max. Il y avait tellement de choses à penser, tous les trucs de jeunes et ça me perturbait un peu car j'avais toujours peu de ne pas être à la hauteur des attentes de tout le monde. J'en attendais beaucoup de moi dans tout ce que j'entreprenais autant que les autres en attendait de moi. Pour ma mère, je devais faire des efforts en cours si je voulais avoir une bourse pour la fac, pour la chorale, je devais être le meilleur parce qu'ils comptaient aussi sur moi, j'étais un peu considéré comme le leader du groupe après tout puis pour mes co-équipier au football aussi. Je devais énormément m’investir dans beaucoup de domaine et parfois tout ça me dépassé. Déjà qu'avec le Glee Club, je n'avais même plus la même popularité alors c'était encore plus dur à gérer, toutes ses vacheries qu'on devait supporter de la part des autres, ça commencer à m'énerver. Autant des fois, on se laissait humilier mais par moment c'était de trop. Et pour cause, on se faisait jusqu'à insulter de moins que rien, de punaises, et pleins d'autres adjectifs comme ça, on pouvait accepter de se faire lyncher par la coach des Cheerleaders car on savait qu'elle aimait martyrisé tout le monde mais on était toujours plus fort qu'elle. On pouvait souvent perdre confiance en nous mais on reprenait vite la confiance en restant soudé. Je relevais mes yeux de mon assiette pour m’apercevoir que Quinn me regardait avec un large sourire que je lui rendis aussi instantanément un peu mal à l'aise mais surtout en rapport avec notre histoire. Je pris quand même quelques bouchés histoire de rester crédible et de ne pas rester deux heures à manger le même plat, sinon on me prendrait pour un abruti fini ou même un escargot qui met du temps pour finir son repas alors que ce n'était pas très mangeable à vrai dire. "Je ne pense pas que ce soit une mauvaise idée en soi, mais bon, on aura pas trop d'impact, c'est ça qui est dommage..." me répondit-elle en haussant les épaules et de croquer dans un radis, je m'appuyais sur mon bras gauche vu que je me servais de ma main droite pour manger.
"Je n'ai rien compte cette petite rébellion mais nous sommes seulement pas assez pour mettre un terme à toute cette injustice, on aura pas du tout d'impact puisque tout le monde va se moquer de nous" Je prenais encore d'autres bouchés au fur et à mesure que le temps passé. "Et sinon, à part cette rébellion, quoi de neuf pour toi?" C'était une bonne question, que se passait-il de nouveau dans ma vie ? Après une petite réflexion, minime c'est pour dire, j'ouvris à nouveau ma bouche pour lui répondre.
"Oh, tu sais... le football, les cours, la chorale tous ces trucs, je me dis que parfois c'est un peu dur à gérer, j'ai déjà pas confiance en moi alors j'ai toujours peur de rater un truc ou de ne pas être assez à la hauteur" Enfaite, je n'étais pas vraiment le genre de mec à me mettre en valeur et à me montrer, si j'en faisais craqué plus d'une je n'y étais pour rien mais je restais moi.

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Plus je regardais Quinn plus je me disais que j'avais eu tord de réagir si violemment avec elle, pas que ce qu'elle m'avait fait été justifié que je lui pardonnais facilement car c'était quand même grave. Elle m'avait quand même menti et pris pour un con en couchant avec mon meilleur ami de toujours, Puck, puis elle m'avait fait croire à une sorte de théorie qui disait que les jacuzzi stimulait les spermatozoïdes. J'avais peut-être été idiot de la croire parce qu'en réalité, j'avais trouvé ça bizarre étant donné qu'on ne l'avait pas fait du tout. A ce moment là, ma colère dépassait tout j'avais eu l'impression que j'allais exploser parce que toute la chorale avait été au courant avant moi de cette supercherie. Seule Rachel avait été sincère avec moi, c'était bien pour ça que je m'étais rapproché d'elle, parce qu'on avait toujours été sincère entre nous. Notre amitié avait commencé par ça. C'était d'ailleurs une des choses que j’appréciai chez une personne, la sincérité, l’honnêteté et la gentillesse. Mais en fin de compte, Quinn voulait montré qu'elle était forte comme beaucoup dans cette école qui utilise leurs images pour montrer une autre facette d'eux-même. Il l'utilise tellement souvent qu'au fond, je suis sûr qu'ils se reconnaissent pas. Ils deviennent quelqu'un d'autre en jouant un jeu, je savais qu'au bout d'un moment ça se retournaient contre eux, c'était obligé. Aujourd'hui, j'avais décidé d'être plus tolérant avec elle et puis le faite qu'on se parle un peu plus aisément maintenant faisait que tout n'était peut-être pas perdu au final. D'ailleurs, ce n'était pas moi qui ferait le premier pas car ce n'était pas de ma faute si nous avions été dans cette situation et si elle voulait réparé tout cela, elle devait réagir si elle voulait un jour retrouver ce qu'on a perdu, notre amitié. Je terminais mon assiette avec quelques retard et m'attaquer à mon dessert qui était du yaourt à la banane. Je pris mon verre et bu une gorgé d'eau fraîche avant de m'apercevoir qu'il y avait inscrit au fond du verre un chiffre : 5. Je ris un peu de la coïncidence car je portais le numéro 5 au football.

"Tu sais, entre ceux du club vidéo qui sont autant opprimé que nous, les geeks, le club littéraire et tout les loosers comme nous, on est à mon avis, la moitié du lycée." me dit-elle un radis à la main, et je réfléchissais à ce qu'elle disait. Dans un sens elle avait raison, il ne restait plus qu'à les convaincre de rejoindre notre cause mais si ça ne fonctionnait pas et que nous devions mobilisé notre chorale, on se ferait lynché à mort.
"Ouai mais personne ne voudra nous rejoindre même si on fait une pétition dans le lycée, on sera ridiculiser comme d'habitude" répondis-je désespéré et sans plus aucune motivation. Peut-être que plus de la moitié du lycée étaient des losers comme nous mais notre chorale contre tous le lycée, il n'y avait pas photo du tout. Je secouai les épaules comme si je me disais qu'au final, quand tout le monde verra que ce n'est pas une bonne idée, ils verront que j'aurais eu raison, en même temps c'était une idée de Jesse.
"Finn, à la chorale t'es le meilleur soliste, bien avant ce crétin de Jesse, au Foot t'es le quaterback, le capitaine! Et tes notes sont excellentes, tu te mets bien trop de pression, faut que tu relâche un peu ! " m'avoua-t-elle pour me faire comprendre certaines choses, bien que je n'avais pas confiance en moi du tout et le faite que Jesse ai tous les solos avec Rachel me rendait jaloux dans un sens. Mais même si il y avais Jesse, Blaine aussi était présent et il était bien meilleur que moi. Je me sentais complètement rejeter et pas assez au bon niveau.
"J'en est pas l'impression en tout cas, regarde Jesse, Blaine, ils ont l'air tellement meilleur que moi que je ne sais même plus vraiment quel place j'ai. Et puis au foot, être quaterback n'aide finalement pas à être ce que je suis et attention je ne dis pas que je n'aime pas, j'adore le football mais mes co-équipier me mette une pression énorme comme si je n'avais plus les couilles pour être un vrai leader et prendre les bonnes décisions pour les matchs" répondis-je en baissant la tête puis m'affalant un peu plus contre ma chaise. Tandis que sa dernière question me fit relever la tête et me reboosta un peu plus.
"Euh je ne sais pas... on va se faire prendre par madame Sylvester, elle est toujours dans le coin !" lui signalai-je pas sûr de la technique de fuite, on risquait quand même de se faire chopper à sécher les cours. Peut-être qu'elle aurait une solution pour qu'on puisse s'échapper d'ici, au moins ça nous permettait de discuter ensemble loin des cours, même si on avait la chorale aujourd'hui, tant pis on inventera un bobard.